Une douloureuse séparation.

Le temps était pluvieux en ce samedi, mais cela m'étais complètement égale car j'étais juste avec la personne qui allait me faire oublier ce mauvais temps. D'ailleurs je tournais la tête et vit encore mon petit ami endormi. Je souriais, j'étais amoureuse du garçon parfait, il était intentionné, aimant, et très protecteur. Mais il y avait un hic dans notre relation, il ne voulait pas que cela se sache. Pourquoi ? Il ne me l'a jamais vraiment dit, et pourtant je passait la plus part de mes nuits dans le manoir de sa famille, et j'y passait mes journées avec ses sœurs, du moins quand elles étaient là. Donc les Stuart n'avaient plus aucuns secrets pour moi, si je pouvais me permettre de dire cela. Et autant dire que tout ceci commençait à me peser, ce n'est pas comme-ci nous étions ensemble depuis peu, cela faisait maintenant trois ans que nous étions officieusement ensemble. Et je voulais que cela devienne officiel. Je regardais donc mon petit ami amoureusement et passa ma main dans ses cheveux. Il paraissait si serein, paisible et surtout n'avoir aucun soucis. Pourtant ce n'était pas le cas, c'était un Stuart, cette famille était très connue dans le monde la chasse, tout comme d'autres. c'est surement pour cela que mon père était devenue un allié et ami du leur. Je souris quand je le vis ouvrir les yeux. Hello beau brun. Je l'embrassais chastement, baiser auquel il répondit. Je me mis à califourchon sur lui et dit. Et que veut Monsieur Stuart pour son petit déjeuner ? Je me permettais de dire cela et prendre la décision de lui préparé car je savais qu'aucune de ses sœurs n'étaient présentes ce week-end. Je le regardais amoureusement attendant sa réponse. Passer une journée normal avec mon petit ami allait me faire du bien, et j'avais surtout une idée en tête. Lui demander d'officialisé notre relation, comme ça je pourrais enfin le présenté officiellement à mes cousins comme mon petit ami, et appeler belles-sœurs, ses sœurs, que je considères comme les miennes.

J'étais loin d'être dans un sommeil profond, de toute façon, je n'avais jamais eut un sommeil lourd. Du coup quand je sentis une main me caresser les cheveux, j'ouvris les yeux pour sourire à ma petite amie. Il était rare qu'elle passait la nuit ici, car je ne voulais pas que mes soeurs apprennent ma relation avec elle. Pourquoi ? Des raisons il y en avait pleins, et l'une d'entre elle était surtout la peur de l'engagement. Si notre relation devenait officielle, je savais très bien que tout changerait pour moi, mais également pour Gina. Et il faut l'avouer, si moins de personne l'apprenne mieux ce sera. Car mes soeurs seraient bien du genre à attendre assez vite un mariage ou un bébé, et je penses que ce serait de même pour les cousins de Gina, qui sont également de très bons amis. Des amis sur qui je pouvais compter. Du coup je savais d'avance que beaucoup de personnes attendraient plus qu'une simple relation.

Gina se mit à califourchon sur moi, me demandant ce que je voulais pour le petit déjeuner. Je souriais et posais mes mains sur ses hanches et répondit simplement. Toi ! Je souris charmeur, et l'embrassa chastement mais j'en profitais pour balader mes mains sur son corps. J'avais passer la nuit à lui faire l'amour, et autant dire que ce matin, j'en avais encore envie. Mais très vite elle calma mes ardeurs en se levant. Je la regardais marcher en direction de la porte où était accrocher mon peignoir qu'elle enfila. Je lui dit donc. Tu sais Gina le petit déjeuner peut attendre. Je lui fis un clin d'oeil. J'avais juste envie de profiter du corps parfait de ma petite amie. Elle me sourit en me tirant la langue et sortit de ma chambre.

Je soupirais donc et me dirigea vers la salle de bain pour prendre une douche froide. Je m'habillais simplement d'un jogging et me dirigea donc vers la cuisine. Je me posais contre l'encadrement de la porte et regardais Gina préparé le petit déjeuner. Je souriais et décida donc de la rejoindre. Je me glissais derrière elle, et l'embrassa dans le cou. Elle tourna son visage vers moi, j'en profitais pour attraper ses lèvres et l'embrasser. Mais elle réussit encore une fois à échapper à mon étreinte et prépara la table pour le petit déjeuner. L'inconvénient d'avoir une copine chasseuse, elle avait autant de force que moi. Bien que je savais que j'avais plus de puissance qu'elle, elle était de ses filles qui avaient une sacré poigne quand elle le voulait.