Sujet ☆ SATURN le sujet à été posté Sam 23 Mai - 20:59
SATURN
“You taught me the courage of stars before you left. How light carries on endlessly, even after death. With shortness of breath, you explained the infinite. How rare and beautiful it is to even exist.”
Tu étais tranquillement chez toi, ces derniers temps tu n'avais pas la forme donc tu avais fermé le magasin pour quelques jours. Tu ne t'en faisais pas pour ce dernier, dans une ville comme Tulsa, tu savais que le magasin était indispensable ! Tu avais lutté pendant plusieurs semaines à garder la tête haute, cependant c'était de plus en plus dure et ta santé n'était pas idéale. Quoi de plus normal, comme à chaque fois tu avais un coup de moue où tes nerfs étaient à vif et des membres de ton corps lourd et douloureux. Tu avais appris à vivre avec cela sans que tu ne sache pourquoi cela t'arrivait à chaque fois.
Cependant alors que tu étais en pleine contemplation de ton album photo de toute petite à maintenant. Tu en avais 26. Un par an. Bref, en plein visionnage, ton téléphone sonna. Tu y vis le prénom d'Alayna affiché. Ton cœur s'arrêta un instant. Depuis qu'Abby était mourante vous vous étiez d'avantage rapprochée, vous l'aviez toujours été en réalité puisque vous avez été élevée ensemble, mais encore plus maintenant. Tu savais pourquoi elle t'appelait et tu avais tellement espérer ne pas recevoir cet appel. Cette hantise.
Décrochant fébrilement, Alayna t'annonça que c'était la fin et qu'il fallait lui dire au revoir, qu'Abby te réclamait, elle ne pouvait pas partir en paix sans t'avoir parler apparemment. Le cœur lourd, tu avais envie de vomir tellement l'émotion était trop forte. Toutefois, tu n'avais pas de temps à perdre. Tu te dépêcha donc vers l'habitation de la vieille femme, roulant avec plus d'excès que de raison, tu ne faisais pas cas des feux tricolores. Tu ne faisais pas attention à grand chose à vrai dire, tu n'étais même plus toi même, juste spectatrice comme si ton âme et ta conscience s'était séparer de ton corps, qui se dernier agissait tout le seul, par automatisme.
Tu arrivas chez elle en un temps records, tu n'avais jamais été aussi rapide que cela. Tu ne pris pas la peine de te garer correctement, et tu courus dans la demeure. Ouvrant la porte avec fracas, tu vis la jolie rousse sortir de la chambre de sa grand mère, les larmes aux yeux « Elle est... » Fis-tu apeuré d'être arrivé trop tard, tu n'arrivais pas à terminé ta phrase. Toi qui habituellement était si forte, tu étais tellement vulnérable, est-ce donc pour cela que la jeune femme te prit dans les bras. Et cela te réconforta, te donnant du courage. Tu ne voulais pas être en piteux état pour ta dernière rencontre avec la femme qui t'a élevée.
egotrip
Invité
Sujet ☆ Re: SATURN le sujet à été posté Jeu 11 Juin - 15:18
SATURN
“You taught me the courage of stars before you left. How light carries on endlessly, even after death. With shortness of breath, you explained the infinite. How rare and beautiful it is to even exist.”
Chaque jour. Chaque jour Alayna se rendait chez sa grand-mère pour lui apporter des soins supplémentaires. Sa sœur l’accompagnait souvent pour l’aider avec quelques sortilèges de guérison. Il fallait lui donner des forces... mais plus le temps passait, plus cela ne semblait plus faire d’effet. Ce matin-là, la rousse prit sa matinée pour se rendre chez la vieille femme. Sa nuit avait été bercé par moult cauchemar et elle eut comme une révélation... c’était aujourd’hui la fin. Mais elle voulait s’assurer que tout se passe au mieux. Elle s’était éveillée en pleur et avait tout préparé. Des bougies, de la sauge, quelques sachets pour des incantations afin que le passage se fassent dans les meilleures conditions. Alayna se purifia deux fois, afin d’être dans les meilleures effets. Elle enfila ensuite une petite robe vert sapin, que sa mamie avait toujours beaucoup aimée.
Elle arriva chez sa grand-mère, faisant claquer ses talons sur le parquet ancien. Elle arriva dans sa chambre et inspira profondément en voyant dans le regard de sa chère grand-mère qui s’agissait de ses derniers instants. Elle s’avança, souriant et avec les yeux emplis de larmes et elle prit sa main, s’asseyant sur le lit, à son chevet. Elle embrassa la main de la veille femme, laissant couler quelques larmes : “Ne pleurs pas ma chérie. Il vient à chacun le jour où la vie se termine... tu ne dois pas être triste” Alayna sourit doucement, inspirant profondément alors que sa grand-mère toussa alors douloureusement. La rousse se releva, l’aidant à se redresser un peu, plaçant correctement un coussin derrière sa tête : “Aëlynn... ma jolie Aëlynn...” souffla la vieille femme avant de s’endormir un peu. Retenant un sanglot, une main sur la bouche, elle caressa la joue de sa mamie, avant de prendre son téléphone pour composer le numéro de Aëlynn...
C’est aujourd’hui...
Elle raccrocha et commença alors quelques incantations. Elle brûla de la sauge. Massa sa grand-mère pour la purifier et lui accorder le plus de douceur possible. Qu'elle ne souffre pas. Qu'elle s’en aille dans la délicatesse d’un nuage. Alayna resta concentrer et finit ses dernières formules avant d’embrasser sa grand-mère, la laissant se reposer en attendant l’arrivée de Aëlynn. Fermant la porte et les larmes aux yeux, elle la vie alors en face d’elle, essoufflée et demandant à mi-mots si l’heure était passée. La rousse secoua négativement la tête et croisa les bras, lâchant une larme, un sourire s’affichant sur ses lèvres : “Non.. Elle t’attends...” elle baissa les yeux, reculant d’un pas afin que la brune passe devant elle : “Je lui ai donné le plus de temps possible... pour que tu puisses...” elle leva les yeux, retenant un sanglot. Elle essuya sa joue, renifflant alors.
Sujet ☆ Re: SATURN le sujet à été posté Jeu 11 Juin - 17:33
SATURN
“You taught me the courage of stars before you left. How light carries on endlessly, even after death. With shortness of breath, you explained the infinite. How rare and beautiful it is to even exist.”
Ton cœur battait vite, si vite que tu ne pensais pas qu'il puisse tenir très longtemps. Tu avais tellement d'être si lente, d'arrivée trop tard et pourtant il fallait vraiment que tu sois là. Ton âme se déchirait en mille morceaux, les larmes ruisselets le long de tes joues. Perdre un être cher était horrible, tu en avais l'habitude, mais là c'était différent, elle t'avait élevé tu l'as considérais tellement comme ta propre mère, mère que tu n'avais jamais connue. Tu savait que c'était le jour J, mais une part de toi ne voulait pas. Tu ne pouvais pas acceptée de perdre Abby, et que ferais-tu sans elle ? Que ferais-tu sans cet ange, ton ange gardien.
Rapide mais tremblante tu arrivas dans la maison, cette maison que tu avais tellement aimée, cette maison qui t'avait apporter tant de joie, que des bons souvenirs... Tu savais qu'à partir de cet instant, ce souvenir te saura douloureux. Ce ne serait plus la maison de ton enfance, mais le cercueil de la vieille dame tout comme tu savais que c'était la dernière fois que tu y mettais les pieds, que tu n'accepterais pas de repasser devant. Tu le savais tellement, car elle était pas encore morte et pourtant son regard bienveillant, son rire communicatif résonnait en toi et tout se fana, telle une fleur rouge perdant ses pétales une à une.
Comment ? Comment tu pouvais faire sans elle ? Ce n'était pas possible, tu n'étais pas prête. Non pas prête du tout, tu avais besoin d'elle encore, tu avais besoin d'elle. Et tu compris, tu réalisas enfin... Enfin cette vérité universelle... On ne se rend pas compte de la chance, de la joie, d'avoir une personne à nos côtés, jusqu'au moment où on la perd. Et c'était ça, et tu ne comprenais pas toutes ces machinations autour de toi, toute cette vie à quoi ça servait ? Pourquoi ? Tu compris que cette journée allait être un avant et un après, ce point de comparatif douloureux. Ferait-elle un rapport à ma mère, lui diras-t-elle qu'elle femme je suis devenue ?
Tu entras dans la maison, tu y vis la jolie rousse. A son visage tu compris que ce n'était pas une fausse alerte, que c'était maintenant. Tu n'arrivais pas à prononcer cette phrase. Tu levas les yeux en hauteur, essayant de ravaler autant de larmes que possible « Non.. » fis-tu le dos de la main contre ta bouche et en reculant « Non je ne peux pas, je ne suis pas assez forte... Je... » Repris-tu la voix brisée tandis qu'un torrent de larme se déversait sur tes joues « Je peux pas toute seule, c'est trop dur » Soufflas-tu, tu n'étais pas si forte que tu le disais, pas aussi puissante qu'on le croyait « S'il te plaît » supplias-tu informellement de l'accompagner.
egotrip
Invité
Sujet ☆ Re: SATURN le sujet à été posté Dim 5 Juil - 0:09
SATURN
“You taught me the courage of stars before you left. How light carries on endlessly, even after death. With shortness of breath, you explained the infinite. How rare and beautiful it is to even exist.”
Alayna ne comprend pas. Elle ne comprend pas comment une telle chose a pu arriver si vite. En quelques semaines, l’état de sa mamie s’est horriblement aggravé et malgré toutes les potions, toutes le formules... elle n’était pas parfaite et surtout elle ne pouvait pas aller à l’encontre des lois naturelles. Il est temps qu’elle parte. Et son cœur saigne. Et ses mains tremblent alors qu’elle prend son téléphone pour appeler. Elle ne contact pas sa sœur. Non. Elle ne contact pas sa mère. Non. Elle appelle Aëlynn. À la demande Abby et parce que c’est légitime. Elle a élevé la jeune femme comme sa propre fille et alayna se rend compte aujourd’hui qu’Aëlynn fait entre autres partie de sa famille dans un sens.
Lorsqu’elle sort de la chambre, avançant de quelques pas, son regard croise celui de la brune qui passe la porte, essoufflée et les yeux déjà empli de larmes. Alayna la rassure un peu en disant qu’elle n’arrive pas trop tard. Sa grand-mère l’attend pour partir. Mais reculant, Aëlynn avoue ne pas pouvoir y arriver seule, ses mains recouvrant sa bouche comme si son souffle se coupait. Se voulant rassurante et maternelle, Alayna s’approche doucement et vient alors prendre la main de la jeune femme en état de choc : “Je viens avec toi... je ne te laisse pas” elle l’accompagne alors, l’invitant en tirant un peu sur son bras : “il est temps...” elle pousse alors la porte, son cœur battant dans sa poitrine comme s’il voulait en sortir.
Dans son lit, Abby semble paisible. Sachant que son heure arrive, elle l’accueil avec sérénité et essaie de cacher sa douleur physique. Sa faiblesse. Sa vulnérabilité. Alayna retiens ses larmes, se voulant forte et surtout, voulant soutenir Aëlynn dans ses épreuves. Serrant fort sa main, elle ne l’a lachera pas tant qu’Aëlynn ne lâchera pas prise en première : “Grand-mère... Aëlynn est là...” soupire-t-elle en posant sa main de libre sur le bras de sa grand-mère. Celle-ci ouvre un peu les yeux... son visage se tourne et elle croise le regard des jeunes filles, un sourire s’étirant doucement sur ses lèvres, dans une lenteur qui signifie beaucoup...
Sujet ☆ Re: SATURN le sujet à été posté Sam 18 Juil - 12:12
SATURN
“You taught me the courage of stars before you left. How light carries on endlessly, even after death. With shortness of breath, you explained the infinite. How rare and beautiful it is to even exist.”
Alayna n’a encore jamais perdu d’être cher. Et cette sensation de perdre une partie de soi est une torture atroce. Alors elle n’ose imaginer ce que peut ressentir Aëlynn lorsqu’elle découvre Abby sur son lit de mort, un sourire épuisé aux lèvres. La rousse sent la main de la brune se serrer probablement autant que son cœur qui saigne dans sa poitrine. Elle la lâche enfin, venant rejoindre sa bienfaitrice sur le lit. Alayna reste légèrement en retrait, s’appuyant contre la barre en bois du baldaquin du lit. Les larmes montent, là prête à couler. Mais la jeune femme essai de garder la tête froide. Pour Aëlynn. Abby tourne son regard vers sa petite fille et celle-ci comprend qu’elle doit s’éclipser. Faisant le tour de lit, une main à sa bouche pour ne pas craquer elle s’avança pour déposer un ultime baiser sur le front de sa grand-mère : “On se retrouvera...” fit-elle enfin en faisant référence à l’au-delà.
Sortant de la pièce, Alayna expire d’un coup sec, comme si elle venait de reprendre son souffle et reprit une grande respiration. Elle avance lentement jusqu’au séjour, comme perdu, le regard dans le vide. Elle tourne en rond dans le salon et prend alors son téléphone. Elle passe quelques coups de fil auprès de sa famille... se forçant à parler à sa mère : “Bonjour maman... je... je t’appelle à propos de grand-mère.... Oui... oui...” elle retiens ses sanglots, laissant simplement ses larmes couler le long de sa joue. Elle inspire profondément. Dans le fond, elle entend son père. Il veut parler à sa fille. Mais avant même qu’il prenne le téléphone, elle raccroche. Puis elle appelle sa sœur. Elle lui demande d’informer Nathan. Elle ne veut pas lui parler. Elle s’assois sur le canapé, passant sa main dans ses cheveux. Le temps semble s’arrêter et passé horriblement lentement. Mais en même temps chaque seconde compte. Le temps passe... mais passe-t-il vraiment ? Alayna se perd dans ses sombres penser.
Un frisson... une douleur dans la poitrine... la rousse sent que la magie s’envole... elle le sait alors. Elle tourne son visage en direction de la chambre, les yeux grands ouvert. Elle se lève, tremblante... elle avance, les mains comment flottant prête à attraper quelque chose... elle avance lentement, sa gorge se serrant car elle sait... elle le sait... mais elle a trop peur d’ouvrir cette porte. Elle se retrouve devant la porte et alors qu’elle tend la main pour l’ouvrir, ferme les yeux en sentant une chaleur l’envahir, comme une main bienveillante venait de toucher son être... tout ira bien... sa grand-mère lui passe cet ultime message. Mais alors qu’elle pousse enfin la porte, elle découvre le corps de la vieille femme sans vie. Aëlynn tourne son visage vers la rousse et Alayna la regarde alors, elle comprend elle sait. En ce jour et en cet instant... c’est arrivée... c’est une réalité... Sa grand-mère est morte.
Sujet ☆ Re: SATURN le sujet à été posté Mar 21 Juil - 16:11
SATURN
“You taught me the courage of stars before you left. How light carries on endlessly, even after death. With shortness of breath, you explained the infinite. How rare and beautiful it is to even exist.”
Ta vie effondrée en pleins de petits morceaux, tu avais déjà vécu cela. Tu avais déjà perdu des membres proches, tu connaissais déjà ce vide au fond de toi. Tu avais mal à l'âme, même si cette vieille femme n'avait pas ton adn, le même adn, ce lien du sang. C'était tout comme pour toi, tu n'avais pas connu ta mère et c'était Abby qui en avait pris sa place. Ton cœur en quarantaine dès la seconde où sa fin de vie a été annoncée, tu ne savais pas quoi faire pour qu'elle revienne aussi forte et pleine de vitalité qu'autrefois.
Mais cet appel, bien que tu tentais de t'y préparais depuis des semaines, cet appel que tu redoutais, se fit. Et te voilà, peut-être pour la dernière fois, dans ce cottage qui avait bercer toute ton enfance, malgré ton bout de chemin, cet endroit t'es encrée au plus profond de toi. Et pourtant, bien que si fragile, si délicate. Lorsque tu entrais dans la pièce, tu retenais ta peine. Heureusement, Alayna était là pour toi comme tu te promettais d'être là pour elle aussi. Vous perdiez toutes les deux, votre Abby, votre mentor et cette femme si douce et sage.
Tu étais à son chevet, elle voulait te voir, te parler une dernière fois et c'était si dure pour toi de la voir si faible, sa vie s'échappait à vue d'œil. La gorge douloureuse et serrer, la peine coincée dans ce tube te brûlait tendis que tout en toi se nouait terrassant toutes certitudes pourtant si inébranlable. Tu ne fis pas attention tout de suite quand la rouquine derrière toi disparue de la pièce, te laissant avec ta mère de cœur. Tu voulais la supplier de se battre, mais elle savait mieux que toi ce qui lui convenait le mieux pour elle.
Lui tenant la main, elle ouvrit la bouche "Ma douce petite fille" commençat-elle d'une voix si faible "Je suis désolé de t'avoir cachée ce lourd et douloureux secret, je l'avais promis à ta mère et à ton père, c'était pour te protéger... Mais je ne peux pas quitter ce monde sans que tu saches, que tu saches toute l'histoire, toute la vérité sur toi... Sur ta mère" Continuat-elle tandis que ton cœur battait la chamade, un secret ? Tu ne comprenais pas tout de suite. Bien qu'une partie de toi savait de quoi il s'agissait réellement.
Une respiration difficile. Elle reprit la parole "Ta mère, enceinte de toi, s'est fait mordre par un loup, et lors de la première pleine lune, on t'a sorti d'urgence de son ventre, tu n'allais pas survivre à une transformation en loup de ta mère" Fit-elle "Aëlynn, quand tu es venue au monde, ta mère était vivante et n'était pas en danger de vie, elle pouvait vivre, tu n'as pas tué ta mère" Révélat-elle. Ton cœur se serra davantage, tu avais déjà entendu parler de cette histoire d'attaque, tes sœurs l'avaient évoqué, mais comment se faisait-il qu'elle fût encore en vie ? Tu ne comprenais pas.
L'incompréhension dans tes yeux, la força à reprendre sa narration "Ta mère, était une chasseuse extrémiste, tout comme ton père, il était hors de question pour elle qu'elle devienne une bête. Alors après ta naissance, après un baiser et te donner ton nom, elle me confia son bébé et me pria de garder les enfants dans la pièce à côté. Elle avait été très autoritaire comme femme et très dur aussi parfois" Fit-elle "Alors dès les premiers signes de transformation, elle se donna la mort en se poignardant avec un couteau en argent dans le cœur, ton père l'aidant à mettre fin à sa transformation et sa vie aussi" Finit-elle "Je suis vraiment désolée, de t'avoir cachée tout cela, tu es une jeune femme douce et si gentille, j'espère que tu pourras puiser en toi, le courage de me pardonner de ce secret... Oh, je suis si fatiguée, promet-moi que tu essaieras de me pardonner" Fit-elle.
Ouvrant la bouche, sans rien que ne sortent. Tant de révélations sur ta vie, et tant d'émotions face à cela et aussi de voir cette femme sur le point de mourir, ses regrets et sa douleur, son supplice de mon pardon. Tu pris en toi, toute la force que tu avais et tu t'empêchais de céder à la colère et à l'égoïsme. Si tu ne lui pardonnais pas, elle ne pourrait pas partir ? Mais tu ne voulais pas qu'elle quitte ce monde en ayant la certitude que ton amour pour elle n'était plus "Abby, je te promets. Je t'aime et tu peux y aller maintenant, tu peux y aller en paix, je vais y arriver, et je te pardonnerais, je te pardonne déjà... Abby, c'est toi ma mère" Fis-tu et alors que tu commençais à ouvrir la bouche de nouveaux, tu sentis son dernier soupir.
Ouvrant la bouche, aucun son ne sortait comme tout à l'heure, mais là, ton cœur est mort. Les larmes coulant le long de ta joue, à flot. Cette déferlante. Tu respirais vite et fort "Alayna, Alayna, s'il te plaît, Alayna" Crias-tu, dans un précipice, tu vis la blonde vénitienne débarqué "C'est finit, elle est partie... Abby est partie" Soufflas-tu, en te levant, t'éloignant du lit, contre la porte, tu laissais Alayna rejoindre son grand-mère, lui dire au revoir. Silencieuse, rien ne sera plus pareil maintenant. Qui allais-tu devenir ?
egotrip
[/quote]
Contenu sponsorisé
Sujet ☆ Re: SATURN le sujet à été posté
SATURN
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum