Le bien et le mal feat Marx

Son réveil sonna, il prit son téléphone pour l'éteindre. Une fois sortit de son lit, il mit un bas de jogging et se dirigea vers la cuisine, il se servit un café et lu le mot posé sur la table. Un message de sa mère disant qu'elle était partit avec son père en voyage. Il leva les yeux au ciel et reposa le mot à sa place. Ce mot ne lui était pas destiné, il n'avait aucun lien avec sa mère. Il s'installa sur une des chaise haute, et prit son téléphone. Etant dimanche, il n'avait aucun cours aujourd'hui, et étant rentré tard hier pour avoir passer la soirée au bar avec les gars, autant dire qu'il avait bien l'intention de se reposer. Bon peut-être que dans la soirée il sortira comme à son habitude tout dépendra d'une jolie brune.

Alors qu'il venait d'envoyer un message à la fille en question, il entendit des pas dans les escaliers. Son frère jumeau arriva dans la cuisine, il ne le salua pas. Il s'adressait à peine la parole. Mais ce n'est pas pour autant qu'il ne l'observait pas. Il le vit prendre un café et s'installa en face de lui et le vit prendre la mot. Il regarda le visage de son jumeau, lui avait de l'infinité avec sa mère, il en était très proche. Une véritable relation mère fils. Alors qu'Ulrich avait eut une éducation digne des Hein dans la magie noire. Pas que cela le dérangeait, loin de là car sans ça, il n'aurait pas rencontré Jude, Jonathan, et "X". Son regard croisa celui de son frère. Il leva un sourcil attendant que ce dernier parle.

Après avoir passé une nuit de garde, Marx se leva avec difficulté, la nuit avait été mouvementé, mais c'était la routine pour lui. Il se prépara d'une tenue digne du dimanche et descendit pour prendre son petit déjeuner. Bien évidemment en arrivant dans la cuisine il tomba sur son frère jumeau. Il ne dit rien même pas un bonjour, depuis leur enfance, les jumeaux, n'était pas si proche, pour la simple et bonne raison que leurs parents avaient décidés de prendre chacun leurs enfants. Ulrich avaient donc eut toute l'intention de son père, et Marx celle de sa mère. Et autant dire qu'il préférait largement sa place, car Marx savait très bien que son père était maléfique et violent. Alors que sa mère était douce et aimante. Lui avait reçue l'amour, le bien, son frère, la violence et le mal. Et pourtant hormis leurs caractères qu'ils s'étaient tout deux forger, ils étaient identique.

Il se servit un café, s'installa en face de son frère et prit le mot posé sur la table. Il ne dit rien, mais son visage en disait long. Il leva son visage et tomba sur le visage de son frère. Il se défièrent du regard un moment et Marx, lâcha comme une bombe. Il finira par la tuer. Un père violent, voilà ce qu'était le patriarche Hein, bon Marx avait jamais gouter aux coups de son père, sa mère s'étant toujours interposé entre eux, mais il le savait, et ses voyage était une manière pour lui de garder sa femme près de lui, une façon de se faire pardonner comme touts les bijoux offert. Et sa mère, ayant tellement peur de finir seul et loin de ses enfants, acceptait et pardonnait comme ci de rien n'était.

Bien évidemment la réaction de son frère était neutre, à la limite du je m'en fou, ce n'est pas mon problème. Marx but une gorgée, et perdit un peu patience face à son jumeau. Je te comprend pas, c'est ta mère aussi, t'es vraiment si pourrit pour que cela ne t'affecte pas. Tu ne vaux pas mieux que lui. Il savait que son frère n'aimait pas qu'on le compare à leur père, mais c'est exactement ce que pensait Marx. Et il se demandait bien d'ailleurs comment son diabolique frère allait finir plus tard, surement comme son père à moins qu'il arrive à changer par amour, mais Ulrich ne connaissait rien à l'amour.

Il regarda son frère, sa phrase n'était pas étonnante Ulrich connaissait les pulsions de son père.  Il en avait subit les conséquences pendant son enfance. Et sa mère aussi d'ailleurs. Sa mère,  il n'avait pas relation avec elle, voilà pourquoi la phrase de son frère lui faisait ni chaud ni froid. Certes elle l'avait mit au monde, mais elle n'avait jamais non plus chercher quoi que soit à son égard, laissant son mari, avoir tout le monopole sur Ulrich.

Cependant si il y a bien une chose qu'il n'aimait pas c'est d'être comparer à son père car certes il n'était pas un saint, mais il n'avait jamais été violent avec ses petites amies. Peut importe le cas. Bon à réfléchir peut-être sexuellement avec une certaine sorcière mais il fallait l'avouer elle était tout aussi dingue que lui. Il regarda donc son frère avec un regard noir et dit. Ne me compare pas a lui, mère est libre, elle n'apas qu'àle suivre des que monsieur decide davoir un élan de gentillesse a son egard. Il pensait ce qu'il disait. D'ailleurs il y avait des règles chez les Hein, ne pas se mêler des affaires des autres sauf à la demande de la personne concernée.  

D'ailleurs si son père était partit ça voulait dire qu'il allait devoir s'occuper d'elle.  Il devait contacter les gars car autant dire avec Marx dans les parages  ça allait être compliqué.  Puis il pensait au rôle de sa mère dans tout cela. La aussi il allait devoir gérer. Estime toi juste heireux que mêmesi il arrive le pire, tu ne seras jamais mêleraux histoires noires de la famille. Car oui son frère était mit à l'écart sur certaines choses et autant dire que cela ce n'était peut-être pas plus mal vu que Marx était l'ange et lui le démon.